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  Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée]

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Invité


 Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée] Vide
MessageSujet: Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée]    Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée] EmptySam 5 Mai - 22:48

[ Osmanthe Cathair ]

« Qu'est-ce qu'un cynique ? C'est un homme qui connaît le prix de tout et la valeur de rien. »


identity card


 Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée] 00icon10
Nom ▬ Cathair
Prénoms ▬ Osmanthe
Surnom ▬ Autrefois, j’aurais eu tendance à dire qu’il n’était pas très conseillé d’en chercher un, mais maintenant, il s’en fout un peu. Libre à vous de décliner toute la gamme des surnoms ridicules dérivés d’Osmanthe.
Âge ▬ 20 ans
Lieu de Naissance ▬ Amenthalys
Rang Social ▬ De par sa naissance, très haute noblesse : sûrement une bonne quantité de sang-bleu dans les veines. Mais depuis le chute du régime de Raziel, toute la renommée et le patrimoine qu’il pouvait tirer de cette haute ascendance s’est évaporé. On ne le considère plus que comme un classe moyenne lambda.
Sexualité ▬ Hétérosexuel
Métier ▬ Chercheur au sein de l’A.R.K., officiellement. Autant dire qu’en réalité, il touche un peu à tout. En plus de ses recherches purement théoriques, il lui arrive de conduire quelques opérations expérimentales historie de concrétiser son travail, et sa condition d’ex-traqueur lui permet aisément de jouer les rabatteurs de cobayes au besoin.
Habitation ▬ Dans les sous-sol de l’ex-Tour du Savoir, aux côtés de ses collègues de l’A.R.K.

PARTICULARITÉS PHYSIQUES ▬
Plutôt gringalet et pas spécialement grand (flirtant avec les 1m75), Osmanthe est doté d’une apparence qui, si on ne peut pas la qualifier de banale, lui offre la possibilité d’une confortable discrétion. La seule originalité notable à propos de son physique sont ses cheveux aux reflets bleus, et les multiples cicatrices qui parsèment son corps, souvenirs de sa courte mais active carrière de traqueur, et de l’entraînement intensif qui l’a précédé. Une balafre particulièrement impressionnante court en diagonale sur son torse, de l’épaule droite à la hanche gauche.



i got the power


KARNEVALE ▬
Aucun.

ARMES
Osmanthe a conservé ses deux armes favorites du temps où il était au service de l’Empereur, à savoir un pistolet de calibre moyen constamment glissé à sa ceinture ou sous sa veste au moyen d’un holster, et un poignard discret dissimulé dans une de ses manches.

ÉQUIPEMENT
Dans le cadre de ses activités de recherche, Osmanthe s’est procuré l’équivalent d’une tablette tactile actuelle, grâce à laquelle il peut consigner les informations qu’il récolte à tout moment. Inutile de préciser qu’il y a fait installer un système hyper-perfectionné de protection contre le piratage et les autres inconvénients du même type. Il serait ennuyant que les recherches les lus secrètes de l’A.R.K. tombent entre de mauvaises mains…



try to rule the world


CARACTÈRE ▬
Soumis depuis son plus jeune âge à une éducation stérile, stricte à l’extrême et dotée de valeurs aussi rigides que critiquables, la chute du régime de Raziel a été pour Osmanthe l’occasion d’une prise de conscience qu’il avait longtemps repoussée.
La volonté d’annihiler toute trace de cet enseignement nocif a donné naissance à un jeune homme différent, désabusé et amer d’avoir vu son univers s’écrouler –littéralement- en même temps que la cité volante, mais aussi désespérément avide de vivre enfin selon ses propres choix.

Aujourd’hui, il s’est trouvé un objectif, des compagnons auxquels il a appris à faire confiance, et le reste, il s’en fout. Pour réussir, rien de tel que de ne pas désirer trop. Pourtant, ce ne sont pas les moyens qui manqueraient pour mettre en œuvre des plans grandioses, pourrait-on dire. Mémoire sur-développée, facilités de déduction, logique infaillible et imagination rationnelle mais fertile, toutes ces capacités que l’on englobe généralement dans le terme de « génie » sont toujours aussi présentes, peut-être même plus épanouies que jamais. Osmanthe, c’est un esprit en perpétuel bouillonnement, incapable même pendant deux secondes de cesser d’analyser, calculer, anticiper, conceptualiser… Ce qui présente presque autant d’avantages que d’inconvénients. Parmi ces derniers, en notera une insomnie chronique, bien qu’il n’ait jamais été démontré rigoureusement que les deux particularités avaient un lien ; il lui semble que ce sont ses réflexions incessantes qui, occupant sans trêve son esprit, l’empêche de trouver le sommeil. De même, cette tendance naturelle au calcul rend difficile toute tentative de spontanéité. Les sentiments étaient quelque chose de prohibé par son éducation, mais à la longue, il avait fini par en développer néanmoins, tous plus négatifs les uns que les autres. Toujours dans l’optique d’un changement radical, Osmanthe s’est efforcé de se débarrasser de sa haine, sa rancœur, sa jalousie, pour les remplacer par un cynisme chronique, mélange de lucidité et de flegme face aux travers du monde, des autres, et des siens. Point de colère ou de désir de vengeance, donc, mais des sarcasmes raffinés (ou pas, il lui arrive d’avoir une pulsion soudaine qui le pousse à envoyer balader ses manières d’aristocrate) à longueur de temps, souvent gratuits, et plus ou moins dépourvus de réelle méchanceté. Assez lucide quant à ses défauts, il prend en guise consolation un malin plaisir à détecter ceux des autres et les leur jeter poliment à la figure.

Osmanthe a pris l’habitude de mentir abondamment. Pas par hypocrisie, car pourvu que cela ne le compromette pas gravement, il prend plutôt plaisir à exposer ses opinions, surtout quand il sait qu’elle déplaira fortement. C’est plus une sorte de jeu auquel il s’adonne, par exemple lorsqu’il fait la connaissance de quelqu’un. Mentir sur son identité, juste pour la forme, sans chercher à changer de personnalité. Il ne peine pas trop à imaginer au besoin des dizaines d’identités cohérentes, histoire comprise. Cela lui permet de surcroît d’évaluer l’intelligence de son interlocuteur, en fonction du temps qu’il mettra à réaliser la supercherie.

D’une obstination calme, l’échec est resté son plus grand motif de colère. Peu porté sur la violence, sauf cas extrêmes, elle se traduit généralement par un isolement prononcé et un silence rageur. La source de cette susceptibilité se retrouve dans son orgueil, toujours très sensible, quoique pas aux mêmes affronts. Osmanthe n’accorde plus réellement d’importance à ce que pensent ou disent les gens à son propos, que les critiques formulées soient vraies ou pas. C’est lorsqu’il manque à ses propres exigences que sa tranquille arrogance en prend un coup, mais c’est parallèlement ce qui le fait avancer.

Si les expériences douteuses qu’il cautionne sans le moindre scrupule prouvent l’absence de réelle moralité chez lui, Osmanthe ne prend pas grand plaisir à faire souffrir les autres. Il le fait, point-barre. Et il ne se refuse plus comme auparavant à faire preuve d’une relative gentillesse ou affabilité selon les circonstances. Ayant pris conscience que ça ne coûte pas grand-chose d’être sincèrement aimable avec des personnes qu’il apprécie, il a laissé tomber l’espèce de caricature d’insensibilité irascible qu’il affichait auparavant. Mais son estime ou affection restent terriblement limitées, et il voue à ceux qui n’en bénéficient pas une froide indifférence, sans pour autant répugner à les fréquenter, absence de sentiments n’étant pas synonyme d’absence d’intérêt.

Ainsi, pour quelqu’un qui ne le connaît pas de trop près, la caractéristique principale du jeune homme reste un flegme mêlé de cynisme, tel le cliché usé de l’intellectuel désabusé.

PHOBIES
Les scorpions, encore et toujours. Rien que la vue d’un des ces arthropodes suffit à le paralyser de terreur.



once upon a time


BIOGRAPHIE ▬
Fils unique du garde du corps de l’Empereur, il n’a jamais été question qu’Osmanthe Cathair se contente d’être un aristocrate intellectuel raffiné comme il y en avait tant d’autres, ou un militaire haut-gradé lambda. Il devait être surdoué, atypique, sans faille, invincible. La fin justifiant les moyens, on ne lésina pas dessus. C’est ainsi que sous l’égide de son terrible père, Osmanthe fut soumis dès qu’il fut en mesure de marcher à une éducation intensive et variée, le fils des Cathair se devant bien d’avoir plusieurs cordes à son arc. Si son génie précoce lui permit de répondre aisément aux attentes intellectuelles, il en fût légèrement autrement en ce qui concernait les attentes physiques. Ayant malheureusement hérité de la carrure fine de sa mère, l’entraînement destiné à faire de lui un combattant d’élite fut long et douloureux, parsemé d’épreuves absurdes et dangereuses nées de l’imagination effrayamment fertile de Cathair Senior dans ce domaine. Tandis qu’il s’efforçait de ne pas mourir bêtement au cours de ces difficiles épisodes, il intégra de façon exagérément précoce l’Académie d’Amenthalys, ce qui lui valut autant de moqueries mesquines que de jalousie face à sa réussite de ce côté. Il alterna ainsi entre cours universitaires de haut niveau et entraînement physique extrême jusqu’à ses 18 ans, âge que son père estima tout à fait suffisant pour qu'il devienne Traqueur, le métier -plein d’avenir au vu de la récente recrudescence de rebelles- qu’il avait choisi pour lui. Grâce à ses relations, il obtint que l'on fasse une exception à la limite d'âge, les 21 ans théoriquement nécessaires pour passer l’examen et accéder à la fonction. C'est sans trop d’efforts qu'Osmanthe satisfit aux exigences de l'épreuve et devint ainsi le plus jeune traqueur de l’Histoire, s’attirant une fois de plus le lot de jalousie qui allait avec, il commençait à avoir l’habitude, en même temps. A cette époque, Osmanthe était sans aucun doute un excellent combattant –peu puissant mais extrêmement rapide, souple, et stratège que l’on pensait infaillible- mais parallèlement doté d’une personnalité quasi-caricaturale née de cette éducation aberrante. Terriblement arrogant, égoïste, insensible, hermétique à l’idée d’échec, à tous genre de sentiment, incapable d’envisager un autre avenir que celui de traquer indéfiniment tous les opposants aux régimes sans jamais faillir.
Bien entendu, cette vision bornée se heurta bien vite à la dure réalité du monde, monde qu’il n’avait perçu jusqu’alors que de façon déformée. On avait beau être « génial, supérieur aux autres, infaillible », on finissait toujours par tomber sur un os. La perfection que l’on exigeait de lui, et qu’il avait fini par s’imposer inconsciemment n’existait pas. De sa frustration face à ses échecs et aux remontrances violentes de son père naquit une rancœur qu’il déversait aléatoirement sur ses victimes. Cela ne fit qu’amplifier ses erreurs et multiplier ses échecs, tandis que le monde Raziel, celui qu’il défendait farouchement, le seul où il pensait avoir une place, commençait à s’effriter.
La chute fut lente et douloureuse. Son apogée fut certainement l’affrontement final contre Roxanne d’Essling, l’échec de trop, cuisant, insupportable. Lorsqu’Alzen dégringola, il se trouvait encore à proximité de la Tour du Savoir. Assommé, probablement par un bout de mur quelconque, il eut la chance de ne pas se faire entièrement aplatir par un bâtiment effondré.

Il reprit conscience dans un monde de ruines. Aussi détruit intérieurement que l’était l’ancienne cité volante, il sut alors qu’il n’y avait que deux choix qui s’offraient à lui. Changer, radicalement et définitivement. Ou se laisser mourir, il était assez bien parti pour ça, à vrai dire.
C’est dans un sursaut de révolte qu’il se refusa à capituler. Pendant des semaines, il erra péniblement dans les ruines, se nourrissant grâce à ce qu’il trouvait d’encore comestible dans les maisons les moins détruites. C’étaient des réflexes presque mécaniques. Car parallèlement, son esprit était occupé à analyser méthodiquement les raisons qui l’avaient conduit là, dans ce qui ressemblait à une impasse. Pour, idéalement, ne plus jamais refaire les mêmes erreurs.

Ce fut une réflexion exagérément longue, mais, et il avait fini par s’en rendre compte, réfléchir était probablement ce qu’il faisait de mieux, alors pourquoi se limiter ?
Il en tira des conclusions désagréables à admettre, mais assez justes dans l’ensemble. Son échec général était principalement dû à trois causes, trois travers qu’il avait développé jusqu’à frôler le ridicule. L’arrogance, l’incapacité à accepter la défaite, le refus de faire preuve du moindre sentiment positif. Ce qui l’avait conduit à s’obstiner aveuglément dans une voie sans issue, développer une haine incontrôlable à l’égard de ceux qu’il désignait, souvent à tort, comme les causes de ses échecs, se concentrer sur cette rancœur et rien d’autres, quand bien même on avait tenté de lui tendre une main salvatrice.
Trois défauts destructeurs qu’il lui fallait annihiler pour espérer prendre un nouveau départ.

D’ailleurs, nouveau départ, c’était bien joli, mais coincé dans ces ruines toxiques comme il l’était, ça restait une pure utopie. Il ne savait rien des changements qui avaient pu s’effectuer en dehors de la zone dévastée. Raziel était définitivement tombé, c’était une quasi-certitude. Mais qui l’avait remplacé ? Et surtout, quel était le sort réservé aux ex-traqueurs, pourritures par excellence, symboles du règne décadent de l’Empereur ?
Les rumeurs qui couraient au sein des quelques groupes de survivants qu’il avait brièvement croisés évoquaient une possibilité de reconversion. Mais il n’avait aucun moyen de s’en assurer, et aucune envie de risquer une condamnation à mort ou un emprisonnement à perpétuité pour avoir tenté une sortie à l’aveuglette.
De toute façon, sortir pour faire quoi ? Se réintégrer dans la société comme un citoyen lambda, racheter les horreurs qu’il avait commises –et qu’il ne regrettait pas franchement- par un travail honnête et gratifiant, trouver l’amour de sa vie, se marier, avoir une maison, trois gosses et un chien ? Impensable et ridicule à en rire aux larmes.
Il avait beau avoir réfléchi de tout son soûl, probablement appris de ses erreurs et entamé un sérieux remaniement de sa façon de voir le monde, il était incapable de prendre un nouveau départ. Il voulait avancer, il lui manquait simplement la direction. Ou peut-être que ce nouveau monde qui se construisait au dehors n’avait pas de place pour quelqu’un comme lui. Peut-être qu’il était incapable de faire autre chose que ce pourquoi on l’avait si ridiculement formaté. Peut-être que l’avenir d’Osmanthe Cathair avait définitivement disparu en même temps que sa mission de traqueur qui avait été, et c’était triste à dire, sa seule raison de vivre.

Suite à cette amère constatation, Osmanthe connut une phase d’accablement, durant laquelle il passait des heures non plus à réfléchir, mais à ressasser stérilement les options peu engageantes qui s’offraient désormais à lui. Pour tenter de s’arracher à cet auto-apitoiement, il entreprit d’explorer méthodiquement la cité déchue.
C’est un soir, au détour d’un immeuble en ruine, qu’il aperçut pour la première fois Valentina Vallone. Il se souvenait avoir ressenti un mélange de fascination et d’appréhension en voyant danser sur les décombres cette gamine dont il ne savait pourtant rien. N’ayant rien à perdre et rien de mieux à faire, il avait cédé à la curiosité de l’approcher, lui parler.
Et ils avaient parlé, et il avait fini par percevoir cette colère qui la consumait, ce désir de vengeance qui la guidait. Sûrement comme elle avait perçu qu’il n’avait plus ni but, ni place dans ce monde et qu’il errait pathétiquement sans même tenter de se raccrocher à des croyances ou des illusions.
Auparavant, il aurait été furieux que cette gosse, aussi dur soit son regard, le prenne en pitié au point de lui tendre une main. Mais désormais, il était capable de réaliser qu’elle lui offrait l’objectif qu’il cherchait désespérément. Celui de l’A.R.K., l’association de recherche sur le Karnevale qu’elle avait créée.
La première fois qu’elle l’avait évoqué, alors qu’il avait déjà la conviction qu’il suivrait cette étrange gamine, il avait rit devant l’ironie de la situation.
Durant toute son existence, il avait haï et méprisé les Karnevaliens tout en passant le plus clair de son temps libre à rechercher toujours plus d’informations à leur sujet. Il était désormais assez lucide pour s’avouer qu’il aurait rêvé posséder un de ces dons miraculeux, et que son soi-disant dégoût n’était en fait que la manifestation de sa jalousie non-assumée à l’égard de ceux qui bénéficiaient de ce privilège. Ses recherches avaient été autant motivées par la fascination sans égale qu’exerçait un pouvoir qu’il n’était pas en mesure de comprendre que par la volonté d’en savoir le plus possible à son sujet pour être en mesure de s’en protéger.
Un pouvoir hégémonique revenant de droit aux possesseurs de Karnevale les plus puissants ? Idéologie un peu raccourcie au goût d’Osmanthe, mais pas dérangeante. Le processus de sélection naturelle avait été démontré depuis fort longtemps, et la possession d’un pouvoir que l’on qualifiait -probablement à tort- de surnaturel constituait sans aucun doute un facteur favorisant la survie.
Dans cette optique, il était particulièrement mal placé pour subsister. Mais si la nature n’avait pas daigné lui offrir les capacités nécessaires pour faire partie de l’élite, alors il n’y avait qu’à lui forcer la main.
Un objectif, une « famille », un futur. Il aurait fallu être d’une idiotie aberrante pour refuser ce que lui offrait Valentina, et Osmanthe était tout sauf idiot. Il serra sans hésitation la main qu’on lui tendait.

Fort de ses nouvelles résolutions, Osmanthe quitta la cité en ruines pour gagner la Nouvelle Alzen dans les jours qui suivit. Là, on lui offrit effectivement la possibilité de passer l’éponge sur ses choix politiques douteux, non sans le soumettre pendant quelques temps à une surveillance prudente qu’il accepta de bonne grâce.
Il n’avait quitté la Zone Alzen et les quartiers généraux de l’A.R.K. qu’on lui avait fait découvrir que pour se donner les moyens de devenir un chercheur compétent et efficace. Il suivit en accéléré les cours de l’Académie d’Alzen. Un mélange de médecine, biologie et génétique de très hauts niveaux nécessaire pour nourrir ses réflexions à venir sur le Karnevale. Il parvint également à recueillir, de façon moyennement légale, les centaines de données sur des possesseurs qu’il avait recueillies au cours de sa carrière de Traqueur. En quelques mois, il parvint à se faire une place confortable dans la communauté scientifique, suffisamment pour que son intégration officielle en tant que chercheur au sein de l’A.R.K. n’ait rien de soupçonneux.

Depuis, il s’adonne entièrement à ses recherches, alternant entre de longues périodes de réflexions théoriques et vérifications expérimentales au sein des quartiers de l’A.R.K., et quelques voyages autour de Sphéra à la recherche des Karnevale les plus puissants et fascinants. Il est à l’origine d’une immense classification des possesseurs selon leur type de Karnevale et la puissance de celui-ci, dont il se sert largement pour alimenter ses recherches d’observations statistiques.
Parallèlement, il nourrit le projet d’une implantation prochaine, attendant juste de trouver le Karnevale qui lui conviendrait.



who are you ?


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Autres ▬ Pas de suggestion. Par contre, y'a juste un truc qui m'a mis le doute, et j'ai pas réussi à retrouver l'info dans le contexte : les cheveux de couleurs exotiques, genre bleu, vert, etc., ça peut être naturel à Sphéra ou teinture oblige?

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Terek Vöronov
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MessageSujet: Re: Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée]    Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée] EmptySam 5 Mai - 23:41

Hehehe rebienvenue parmi nous.

Pour répondre à ta question concernant les cheveux bleus, on a bien Czes qui les a verts sans raison apparente (à moins que je dise des conneries oulàlà il est tard bref)... JE SAIS QUE C'EST PAS UNE REPONSE mais s'juste pour dire qu'au pire on s'en bat.

Sinon éventuellement un détail à signaler au niveau de ton background où tu mentionnes que l'âge minimum pour passer l'examen de traqueur est de 18 ans. Dans mes souvenirs c'est 21 ans, même si le cas d'Osmanthe est très particulier vu que ce prédef avait été créé avant que l'âge soit décidé. Peut-être simplement assumer qu'il a été admis parce qu'il était trop balèze sa race ? Enfin vois ce qui t'arrange fgsdhhfea ;u;

Et sinon c'est toouuuuuut~
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MessageSujet: Re: Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée]    Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée] EmptyDim 6 Mai - 6:53

Merciiii pour l'accueil!

Pour les cheveux, tant mieux si on s'en fout, parce que j'avais vraiment beaucoup de mal à imaginer Osmanthe se teindre les cheveux en mode midinette toutes les trois semaines, en fait...

Et l'âge limite, j'avoue que je l'ai inventé sans même penser qu'il y en avait vraiment une (j'avais zappé ce détail même sur la V1...), mais du coup j'ai fait la modif' vite fait :
Citation :
[blablabla...]jusqu’à ses 18 ans, âge que son père estima tout à fait suffisant pour qu'il devienne Traqueur, le métier -plein d’avenir au vu de la récente recrudescence de rebelles- qu’il avait choisi pour lui. Grâce à ses relations, il obtint que l'on fasse une exception à la limite d'âge, les 21 ans théoriquement nécessaires pour passer l’examen et accéder à la fonction. C'est sans trop d’efforts [blablabla...]
En espérant que ça passe comme ça...
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Ashley Archval
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MessageSujet: Re: Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée]    Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée] EmptyDim 6 Mai - 7:00

Tout me va de mon côté, c'était une fiche très plaisante à lire ♥ .

Par rapport à l'âge, ça me semble bon comme cela, également. Alors je te valide avec grand plaisir !

Décidément, on récupère la crème de la crème chez l'A.R.K... ♪
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MessageSujet: Re: Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée]    Osmanthe Cathair - Pulling your puzzles apart [Terminée] Empty

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