Malorya est de taille tout à fait commune - des formes plutôt généreuses.

Malorya peut maîtriser le corps d'un autre individu. Il devient grâce à cela sa marionnette. Elle ne peut cependant faire l'acquisition d'une seule personne à la fois et ce dans un temps réduit. Sa portée de maîtrise n'est cependant pas délimitée, elle peut très bien faire de sa marionnette ce qu'elle veut sur une longue distance. Plus le périmètre est loin, plus cela demande de l'énergie. Elle peut utiliser le corps de sa victime comme bouclier ou bien alors pour se défendre sans trop se salir les mains. Elle peut notamment infliger des blessures sans que cette personne ne puisse résister. Malorya sait très bien le manier.
Malorya porte sur elle une dague à double tranchant.

Elle porte une ceinture sur laquelle elle range sa dague, qu'elle ne dissimule absolument pas. Malorya aime les gants c'est pourquoi elle en porte régulièrement.(armes exclues)

Je ne suis pas particulièrement aimable avec les personnes m'entourant, tout simplement parce que je ne suis pas une personne aimant s'ouvrir à autrui. J'aime garder une distance avec mes semblables et ne dévoilerai jamais réellement ce que je pense. Fuir n'est pas dans mes habitudes, j'assume mes actes, même s'il m'est arrivée de détourner la faute sur autrui. Honnête il ne faut pas l'être, les personnes qui vous pose une question quelconque attendent forcément une réponse précise.

Hypocrite, peut être, je ne pense pas forcément à ce que peuvent ressentir les personnes se trouvant autour de moi. Pourtant, j'aime la présence de ces êtres se collant à ma vie, voulant m'arracher tous mes secrets. Arrogante surement pas, mais cependant on me décrie souvent comme cela. Un manque de respect envers mes ainés et l'insolence d'une adolescente, on me rabâche la plupart du temps les oreilles avec ces mots. Le fait de ne pas vous prononcer ce que je ressens, ce que je pense est-ce un manque de respect ? Aucunement je présume. Attachante, parfois des personnes se laissent submerger par leurs émotions et me décrivent comme cela. Silencieuse et ennuyante, je ne sais pas et je ne pense pas. Alors, pourquoi tant de monde pense cela de moi ? Ma vision des choses est complètement différente de la leurs et cela ne leurs plait absolument pas.
(dix lignes minimum)

Malorya déteste les insectes. Qu'ils soient minuscules ou bien énormes, tout y passe. Elle n'hésite pas d'ailleurs à les écraser à son passage.(... qu'est-ce qui te fait hurler ?)

Tout devait se passer pour le mieux dans le meilleure des mondes. Une nouvelle naissance, un nouveau être à combler et à aimer. Cet individu ce fut nommer Malorya, nom qui peut laisser perplexe mais à vrai dire ce n'est pas notre préoccupation. Le vent soufflait, les oiseaux demeuraient absents, alors que la pluie elle marquait sa présence. Une présence bien trop nuisible aux goûts des habitants. Les feuillages se détachaient brusquement des arbres et les eaux alentours se bousculaient. Ce n'est sûrement pas un temps approprié pour diriger une personne à l’hôpital. Et pourtant ce jour là, les contractions se faisaient belle et bien ressentirent. Violentes et tellement douloureuse, que la femme en question en perdue presque connaissance. Son amant à ses côtés, demeurant immobile, la bouche béante ne savant comment réagir face à ce spectacle qu'on ne voudrait voir si on n'est bien trop sensible. Les véhicules peinaient à circuler, emmener cette femme dans une salle d'accouchement serait une trop grosse perte de temps et surtout la garantie que le nouveau né ne fasse pas sa sortie dans le véhicule n'est absolument pas fiable. C'est donc, résigné que l'homme se précipita chez ses plus proches voisins pour demander de l'aide. Emporté par le vent et refoulé à plusieurs reprises il avait quand même rassemblait un bon nombre de personnes. Elles se dirigèrent toutes dans cette demeure et aidèrent du mieux qu'elles purent l'être à faire accoucher son épouse. Une fois l'horreur passé pour certains et d'autres la bénédiction de la nature, le bambin put enfin crier au grand jour. Des cris stridents dont on se serait bien passé après des heures de dur labeur. La mère essoufflée le prit et donna le verdict du sexe aux différentes personnes se dirigeants vers elle. Un long remerciement s'installa, puis le calme refit surface.

C'est donc, une fille qui était sortie de cet utérus. Malorya, fille unique. Ce bébé, qui devint dans la logique des chose une enfant et vécue une enfance qu'on pourrait décrire d'assez paisible. Aimée par ses deux parents et surtout choyée comme il le fallait, elle ne ressentie aucunes frustrations. Dû moins à cette époque.
Vint l'année de ses 11 ans, un phénomène dans sa vie apparu. Un Karnevale. Malédiction pour ses parents et stupéfaction pour sa détentrice. Malorya ne savait qu'elle attitude adopter face à cela. Ses parents n'acceptaient celui-ci et demeuraient perplexe jusqu'au bout. Comment faire ? Comment réagir ? Surtout actuellement. Dissimuler, ne pas en parler, être le plus discret possible. Ils inculquèrent ça à leurs tendre et chère fille. Malorya s'exécuta, mais ses "crises" ne se passaient pas comme prévue et quand il le fallait. Elle ne gérait absolument pas ce Karnevale et ne savait même pas comment le manier. Mais elle savait une chose, il fallait qu'elle s'entraîne encore et encore pour pouvoir gérer cela.

A ses 14 ans Malorya savait déjà les faiblesses de son Karnevale. Le manque d'énergie quand elle essayer de maîtriser un individu contre son grès se fit ressentir très vite. Quant à la limitation de temps, se fut le premier problème. Ses parents, n'acceptaient décidément pas qu'elle apprécie cette "chose". Ils lui répétaient encore et encore la même chanson, avec de nouvelles paroles, cette fois ci : "Ce n'est pas un jouet tu sais !" Ça l’agaçait, en prime elle n'avait le droit de sortir sans leurs permissions. Ce n'est pas comme ci elle avait le besoin de désobéir, mais de ce fait elle ne pouvait plus manier librement ce Karnevale.

Et puis un jour elle disparue, sans laisser de traces. Pourquoi ? Comment ? Elle n'avait rien expliquer et aucuns indices ne semblait s'ouvrir à ses parents. Elle était partie sur un simple coup de tête et elle avait à présent 17 ans. Elle savais correctement maîtriser son pouvoir et décida de s'en servir à bon escient. Elle ne se préoccupait que de sa propre personne et n'en avait rien à faire si ses parents en souffraient ou non. C'est avec un sourire qui se dissimula peu à peu au fil des années que Malorya forgea sa vie d'indépendante.(vingt lignes minimum)

Pseudo ▬ Choco
Âge ▬
Moyenne de connexion ▬ 5 jours
Niveau de RP ▬ Moyen
Multicomptes ▬ Non
Comment avez vous connu le forum ▬ Partenariat
Avez vous bien lu le règlement ? ▬ [CODE OK]
Personnage sur l'avatar ? ▬ Mitarashi Anko
Autres ▬ Non ^^