Karnevale Avenue
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Karnevale Avenue

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 Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%]

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Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%] Vide
MessageSujet: Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%]   Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%] EmptyLun 21 Mai - 20:13

[ GABRIEL WHEELER ]

Every saint has a past and every sinner a future. Oscar Wilde


identity card


Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%] 462587tumblrm344lv6S5n1qjqz6co1250
Nom ▬ WHEELER.
Prénoms ▬ GABRIEL.
Surnom ▬ GAB.
Âge ▬ 27 ANS.
Lieu de Naissance ▬ Alzen
Rang Social ▬ Ancien bourgeois désormais dans les orties.
Sexualité ▬ Large préférence pour la gente féminine. Mais n'a jamais testé quoique ce soit avec un homme.
Métier ▬ Pickpocket à ses heures pour arrondir ses fins de mois. Espion et cambrioleur, dispose d'une petite liste de client. Réparateur de machines électriques à ses heures perdues.
Habitation ▬ Almancar, pas d'habitation fixe. Se limite souvent à la rue, mais profite parfois du grenier ou de la cave des gens les moins pauvres.

PARTICULARITÉS PHYSIQUES ▬
Des cheveux corbeaux incoiffables et emmêlés au possible. Une carrure de guêpe qui l'aide pourtant pour son métier actuel. Une taille qui permet de se glisser dans la foule sans se faire remarquer. Un regard entre le bleu et le gris. Des mains souvent gantés, même la nuit.



i got the power


KARNEVALE ▬
Beaucoup pense qu'il ne possède aucun karnivale.
Attraction.
Lors de 'l'envoûtement' les personnes touchées ont les pupilles dilatés.

Ce pouvoir me tuera peut être un jour. Don divin, malédiction ou colère divine ? Ce pouvoir pourrait être efficace s'il était utilisé avec plus d'assurance et d'aisance. Pourtant l'aiguille qui s'y glisse est maline. Puisque lorsqu'on connaît le réel problème que peut me causer mon karnevale, on comprends bien assez pourquoi son utilisation peut m'être néfaste. Il ne me faut qu'un bref contact avec la peau d'un individu de sexe féminin ou masculin pour que celui-ci soit envoûté par les phéromones que je dégage. On pourrait apparenter cela à une puissante drogue. La victime pourrait donc devenir un serviteur efficace autant au lit que sur le terrain.

Mais voilà, le réel problème, c'est qu'au bout de quelques semaines, l'individu épris aveuglement de moi, pourrait succomber à des idées fort peu sympathiques. Trop de dose pousse à l'irréparable et peut aussi tuer, autant l'utilisateur du don que celui qui a été envoûté. Crime passionnel, cela vous dit quelque chose ? Cette attraction devient très vite un véritable poison. Admettons que je l'utilise contre une dizaine de personne pendant plus d'une semaine, c'est ma mort assurée.

Par chance, si je m'éloigne de la personne pendant plus de vingt quatre heures, les effets s'estompent mais n'effacent en rien les évènements qui ont pu se produire, bien évidemment.
De plus, lorsqu'une personne est envoûtée, elle réagit pas tout à fait de la même manière qu'une autre. En effet, une personne avec beaucoup de caractère pourrait se montrer violent. Alors qu'une personne avec un caractère posé pourrait ressembler à un amoureux transit. Une personne joyeuse et généreuse serait à mes petits soins.

ARMES
Je dissimule un simple couteau à cran d'arrêt dans mes bottes. Le reste de mon arsenal ressemble plus à un équipement qui me permet d’exercer mon "métier" avec aisance. Mais je peux en utiliser certains de ces outils comme des armes. De toute manière, je n'ai jamais été très adepte des batailles sanglantes, je suis plutôt du genre à les fuir. À quoi me servirait des armes alors que j'ai simplement besoin d'ouvrir des serrures ?

ÉQUIPEMENT
Des aiguilles et des épingles dissimulées dans la poche intérieur de ma veste. Ces dernières me sont très utiles pour crocheter des serrures étant plus ou moins complexes. Un bon mètre de fil en métal et en nylon sont dissimulés dans l'intérieur de mes bottes. Des ciseaux en métal se trouvent également dans une poche intérieur de ma veste. Des lunettes pour le style qui semble aussi banal le jour comme la nuit me sont très utile pour voir clairement la nuit. Ces lunettes infrarouges sont de ma création. Tout comme les gants en peau de biche que je porte régulièrement. Très solide malgré tout. Je réalise régulièrement des objets qui pourraient m'être utile pendant mes 'missions'. Objets que je revends immédiatement après utilisation.



try to rule the world


CARACTÈRE ▬


Qualités :
Adroit — Astucieux — Audacieux — Curieux — Diplomate (à ses heures) — habile — indépendant — Planificateur — Stratège — Sensible — Prudent — Direct — Dévoué
Défauts :
Solitaire — Égoïste — Présomptueux — Revanchard — Malhonnête — Distant — Alcoolique — Profiteur — Casse cou — Bruyant — Dépressif — Buté — Fuyard — Moqueur — Désordonné

Je m'éloigne toujours plus des gens qui m'entoure, mais je ne peux pas m'empêcher de les observer encore. Ma vie est devenue un dépotoir depuis que j'ai dû quitter ma ville natale. Je n'ai aucune attache ici, et je fais les choses sans vraiment les apprécier à leur juste valeur. Les différents arômes n'ont plus aucunes saveurs dans ma gorge, ils fondent, ils disparaissent, ils meurent. Je ne m'attache aux gens qu'une minute. Si je les recroise, je ferais toujours au mieux pour éviter une conversation.

Je ne suis pas encore à l'état d'ermite, mon mental ne s'est pas encore totalement disloqué dans les méandres de la ville d'Almancar. Mais il m'arrive de divaguer, surtout lorsque j'ai un coup dans le nez. Des mots sortent de ma gorge même si je me retrouve seul, je parle à des gens qui n'existe pas, peut être des fantômes de mon passé. Je ris parfois aux éclats sans qu'il n'y ait de raison véritable. L'alcool est devenu mon refuge, ce qui me permet d'oublier ce que j'ai pu perdre. C'est triste, on va tomber dans le roman du sentimental à la dérive. Or, quand on a eu tout ce que j'ai eu, et qu'on a été contraint de s'éloigner de son ancienne vie pour en reconstruire une autre moins glorieuse, il y a de quoi passer ses soirées à se soûler la gueule et à profiter des filles de joie. Ce sont mes seuls médicaments, et même si j'en use un peu trop souvent, j'apprécie. Rien qu'une seconde.

Je profite des gens qui m'entoure, parce que c'est tout ce qu'ils peuvent m'offrir. Je vole les gens qui possèdent quelques piécettes dans leurs poches pour pouvoir bouffer. Dans le pire des cas, quand mon mental est au plus bas, je vais m'assoupir dans le coin d'une ruelle la gueule embaumer par l'alcool. Je vais là où je peux aller. Je me sens à moitié mort, mais je vis encore assez pour reprendre ma vie le lendemain matin après un foutu mal de crâne. Des gens me paient pour que j'espionne des inconnus dans les villes voisines, d'autres convoitent des objets de valeur que je dois récupérer. Cela ne me déplaît pas d'entrer chez les gens par effraction, tant que je suis à l'abri et que j'ai assez pour aller dépérir dans le bar du coin.

Je vis dans l'ombre avec le mince espoir que mon karnevale disparaisse un jour. Je n'arrive pas à profiter de ses points forts, même si dans certaines situations, j'en suis contraint. Et ça me donne sacrément envie de gerber.

On ne m'aime pas trop à Almancar. Ma discrétion laisse à désirer. Je passe simplement pour un imbécile bruyant, je suis un cas désespéré parmi tant d'autres. Comment disent-ils ? Un gros lourd ? Un gamin paumé ? La plupart pense que j'ai à peine vingt ans. Mais cette image qu'ils ont de moi me sert de couverture, je me fous d'être dévaloriser.
J'insulte quand ça me plaît, me prenant parfois les pattes dans des affaires dangeureuses. Mais je fais avec. J'en ai rien à faire du monde, des gens, de leurs suppositions, de leurs vomissures, de leurs chuchotements. Je fais simplement tout pour qu'on n'ait pas envie de m'approcher. Et lorsque je ressens le besoin d'un peu de chaleur, j'use de mon pouvoir. Pour mieux les repousser ensuite. Je joue avec eux assez pour ne pas tomber dans le néant. Donc je vis encore, et je ne suis pas près de disparaître de la surface de la planète. Passer mes soirées perchés sur la banquette du fond d'un bar à boire des bières seul est devenu une habitude. Mais, même bourrer, je suis presque ludique. Ne pensez pas que je sois influençable, je suis un mur de béton armé quand on essaie de me faire des offres alléchantes. Quoique. Si vous avez l'art et la manière...

En faites, je dois être complètement paumé. J'ai beau être sur de moi, intelligent, présomptueux et toutes les conneries qui collent très bien à l'image de cet ancien moi, Almancar a fait de moi une épave. Si c'est mieux ou pas, ça j'en sais rien. Certains me diront que c'est mon choix et qu'ils en ont rien à foutre, d'autres diront que je gaspille mes belles années, d'autres encore me demanderont où je vais et si ce chemin me plaît. Je leur répondrais simplement que j'en sais rien. Que peut être, moi aussi, j'en ai rien à foutre.

PHOBIES
Retomber dans le cercle vicieux que lui a fait vivre son pouvoir sur sa sœur.



once upon a time


BIOGRAPHIE ▬

Je n'avais pourtant rien du garçon solitaire, du temps où j'avais encore une vie, de l'argent à souhait, des filles, un toit. En y repensant, j'aimerais peut être tout recommencer à zéro pour mieux anticiper les évènements qui ont bousculé ce petit univers. Mais c'est peu probable. La vie vous offre un présent sur un plateau qu'une fois, si il glisse de vos doigts et se brisent en éclats, une seconde chance ne peut pas se représenter. Certains pensent que c'est le cas, que tout le monde peut avoir une deuxième chance. Ceux qui ne tombent pas si bas, oui, ils peuvent fouiller dans les ordures pour y trouver la lumière. Parce qu'il y a aussi ceux qui ont baissé les bras et qui se contrefiche de la suite. D'autres attendent la gueule ouverte vers le ciel, avec l'espoir d'avaler cette lueur. Puis, d'autres sont persuadés qu'il faut courir après celle-ci. Et d'autres volent le bonheur des autres. Je suis certain que le monde dans lequel nous vivons est aussi prestigieux que celui d'autrefois.

Je l'ai toujours admiré, depuis ma plus petite enfance. Elle m'apprenait l'art de la vie bien mieux que nos parents. Ces derniers étaient trop souvent absent. Loin de nous, enfermé dans leur laboratoire dont chaque secret était solidement garder. J'étais encore trop jeune pour comprendre ce qu'ils nous cachaient, mais elle, elle semblait déjà avoir tout compris. Ses mains me préservaient de ces mensonges, elle me cachait les yeux, m'emmener dans les endroits les plus beaux d'Alzen. Sa voix cristalline raisonne encore dans mes oreilles. Et plus les années passées, plus je prenais de l'âge, plus je l'observais sous un œil différent. Je la voyais pétillante, désirable. Mes sentiments envers cette fille cinq ans plus âgée que moi ne me répugnait pas, même si cela aurait dû être le cas. Je n'entrevoyais aucune relation avec ma sœur à l'âge de 14 ans. Je m'efforçais d'enfermer tous ces sentiments qui pourraient détruire l'amour qu'elle me renvoyait. J'en avais constamment besoin, comme elle avait besoin de moi. Que serais-je devenu sans frère ni sœur ? Aussi grotesque que mes parents, sans doute.

Un jour, elle m'a dit qu'elle se sentait emprisonnée ici. Qu'elle avait envie de partir. Un jour, elle m'a dit qu'elle refusait d'aller dans cette école scientifique, elle m'a dit qu'elle aimait l'art et qu'elle voulait dessiner sur les murs de la ville. J'imprimais chacun de ses rêves, comme si j'avais envie d'avoir les mêmes. La suivre, c'était tout ce que je voulais. Je me souviens l'avoir écouter, sans dire un mot. Absorbant chacune de ses paroles, plongeant mes yeux dans les siens, alors que je me sentais aller de l'avant. Le mouvement de recule qu'elle eut me sortit de ma rêverie, et lorsqu'elle se redressait pour quitter la pièce les yeux écarquillés, la bouche semi-ouverte par la surprise, j’agrippais brusquement son bras. Ce moment a sans doute été le déclenchement de mon karnivale. J'avais 16 ans. Elle en avait 21. Mais ces lois étaient sortis de ma tête. Je me fichais pas mal des conséquences, alors que nos regards se croisaient et que le silence avait pris un peu plus de place. Aucun mot n'était sortis de sa gorge, ses lèvres s'étaient simplement jointe aux miennes. Nos corps s'étaient rapprochés. Le temps s'est arrêté.

Cette relation interdite est restée secrète jusqu'au bout, et encore maintenant, j’éprouve trop de sentiments pour cette fille. Si seulement elle n'avait pas été ma sœur. Ce n'est qu'au bout d'une semaine que j'ai remarqué que quelque chose clochait en moi. J'avais frôler cette jeune fille, portant les draps jusqu'à nos chambres, son regard brillait d'une lueur terrifiante. Ce ne fut pas la première, il y en eut d'autres. Et je me rendis à l'évidence que l'amour que ma sœur avait pour moi été sans doute complètement faux. Au lieu de fuir, et d'arrêter tout ça, j'ai continué. Elle était ma drogue, je ne pouvais pas me passer d'elle. Un mois était passé, jusqu'au jour où je me décidais à partir.

Je me souviens de ce moment comme si c'était hier, elle était simplement sur moi, tout était normal jusqu'à qu'elle se penche vers moi et me murmure des horreurs. Je lui appartenais. Elle m'appartenait. Personne ne devait s’immiscer entre nous. Et elle voulait que rien ne nous sépare. Ses doigts se sont glissés entre mes doigts alors que le ton qu'elle employait me déplaisais. Ses lèvres rencontrèrent les miennes, alors que j'entendais le son d'un tiroir qu'on glisse. Cela n'attira qu'à peine mon attention jusqu'à cet éclat brillant. À la dernière seconde, mes doigts attrapèrent le poignet qui tenait l'arme. Elle avait plus de force que moi en se tenant au dessus, la lame se rapprochait, alors qu'elle se mettait à gueuler qu'elle n'avait pas le choix, qu'elle était obligée. Mes mains glissèrent, la lame écorchait mon oreille, un cris sourd sortait de ma gorge alors que je continuais à me débattre. J'avais donné un violent coup dans le ventre de ma sœur qui glissait du lit. Pendant cette seconde, je quittais la pièce sans demander mon reste, alors qu'une voix me poursuivait. Je ne cherchais pas à savoir si elle était derrière moi, alors qu'une main m’agrippait le bras. L'une des servantes qui m'avait fait des avances me criait que je lui avais promis. Ses ongles avaient déchiré la peau de mon avant bras alors que je m'étais jeté à l'extérieur. J'ai passé ma nuit dehors, à attendre. Je ne suis rentré au château que pour récupérer objets et argent, je quittais Alzen. J'avais 17 ans.

J'ai perdu tout ce que j'avais en un rien de temps. Tandis que certains me proposaient de passer la frontière d'opale contre un sac de pièce, je me retrouvais à Almancar avec rien en poche. J'avais 18 ans lorsque j'ai découvert cette ville souterraine.

D'ici, j'appris ce qui se produisit à Alzen, je ne cherchais pas à savoir si elle était encore en vie et qu'elle m'en voulait pour ce que je lui avais fait. Je n'avais rien envie de savoir. J'appris contre mon gré que mes parents avaient disparu de la circulation de la bouche d'un ancien Alzen, suite aux représailles des gens qui venaient de karnevale avenue. J'appris vaguement la chute de la cité volante, sans vraiment m'en soucié. J'étais déjà à moitié mort, mon visage se creusait, je crevais la dalle, mais je me laissais périr. Il faut croire que je me suis réveillé à 20 ans, j'étais encore en vie, mes vêtements ne ressemblaient à rien, et je ressentis le besoin d'emprunter les choses sans jamais les rendre. Ce vice commença à devenir une sorte de métier. Entouré par des pirates et des gens mal avisés, j'appris peu à peu d'eux. Je repris quelques couleurs, mais plus je m'éloignais des gens, plus mes fantômes me guettaient et me pourrissaient la conscience. J'ai commencé à prendre une place importante au bar, à y passer mes soirées, à observer les gens tant que mon esprit était clair. J'ai étendu ma sphère d'influence puisque le vol simple ne marchait plus tout aussi bien, je réappris l'intérieur des machines, je détaillais les serrures, passais mes journées à réaliser des objets qui finissaient à la poubelle. Jusqu'à celui que je suis devenu aujourd'hui. Pas grand chose. Personne et tout le monde à la fois. Almancar pue mais elle me tient en sécurité, et efface mes horreurs.



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Andy R. Jacobsen
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DARK KNIGHT

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MessageSujet: Re: Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%]   Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%] EmptyDim 27 Mai - 23:14

Bonjour, ça avance par ici ? ~
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MessageSujet: Re: Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%]   Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%] EmptyLun 28 Mai - 8:33

Pas trop. Sachant que je suis en Autriche depuis trois jours. Mais je rentre ce soir. Puis-je avoir un délais jusqu'à vendredi qui vient ?
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Andy R. Jacobsen
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MessageSujet: Re: Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%]   Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%] EmptyLun 28 Mai - 8:43

Pas de problème :)
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MessageSujet: Re: Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%]   Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%] EmptyMar 29 Mai - 19:54

Fiche terminée, avec une histoire digne du papier toilette... Vous torchez pas trop avec.
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Terek Vöronov
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MessageSujet: Re: Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%]   Gabriel ∂ A word before, is worth two behind. [100%] EmptyMar 29 Mai - 22:53

*met son seal of approval* sax
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