Karnevale Avenue
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 Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies

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Invité


Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies Vide
MessageSujet: Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies   Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies EmptyDim 13 Mai - 13:15

[ Yngvi Eszraël Lissandro ]

Don’t come closer or I’ll have to go…


identity card


Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies 606247
Nom Lissandro
Prénoms Yngvi
Surnom Vous n’aurez pas le temps de lui en trouver.
Âge 19 ans
Lieu de Naissance ▬ Amenthalys
Rang social ▬ Rien, Yngvi ne fait pas partie d’une quelconque société, et les sociétés ne veulent pas des chiens errants.
Sexualité ▬ Terriblement hétéro et amoureux de la gente féminine, il ne reculera pas cependant devant une relation avec un autre homme. Contrôlé par le cerveau d’en bas et une libido débordante, quand il n’y a pas de femmes sur sa route, un jeune éphèbe fait bien l’affaire.
Métier ▬ Parasite ? Haha. Yngvi marche, aide de temps en temps les bonnes gens qui l’hébergent, gagne quelques sous en se tapant les tâches que personne d’autre n’ose faire, mais globalement, vit au crochet des autres et sur la route.
Habitation ▬ D’Opale à Amenthalys, du long désert traître aux marécages effrayants, de la nouvelle Alzen à Karnevale Avenue, le monde est sa maison. Il ne vivra pas plus de dix jours aux mêmes endroits, de peur de s’enraciner.

PARTICULARITÉS PHYSIQUES ▬
Une peau tannée par des heures de marches au soleil, un bon mètre quatre vingt, une musculature bien développée pour le plaisir de ses dames, des yeux verts qui vous transpercent l’âme, des plaies suppurantes qui recouvrent son dos et un sourire enjôleur qui lui ouvre les portes des chaumières.


Break all the rules


KARNEVALE ▬
Changement d’état :
Il fait s’arracher les cheveux à Dame Nature et rager les chimistes, sans même le savoir. Dans les mains d’Yngvi, condensation, fusion, solidification sont un jeu d’enfant. Les changements d’états des objets, des liquides ? Finger in the nose. Changer de l’eau en glace, faire fondre une bague en or, solidifier un yaourt ? Quoi de plus facile. Les heures d’entraînements de son enfance ne lui ont pas servi à rien, et c’est avec aisance qu’il maniera ce que les physiciens tardent à contrôler. Grâce à sa mère, apparemment bonne enseignante, Yngvi n’a aucun mal à passer de l’état solide au liquide et ne galérera que pour produire du gazeux… en fait il ne sait carrément pas faire. Il prétendra que le gaz, ce n’est pas assez concret pour lui, et refusera de vous faire une démonstration.

ARMES
Son sac à dos de trois tonnes et demi. Si, si, je vous jure : ça fait mal quand il vous le balance à la figure. Mis à part ça, Yngvi est du genre pacifique, donc couteaux, dagues et armes à feux sont à exclure. Son karnevale suffit amplement à sa défense.

ÉQUIPEMENT
Yngvi n’a pas grand-chose : ses os, sa peau, sa chaire, une paire de baskets, un sac rempli de nourriture et une tente pliable. Le seul équipement notable serait probablement sa cape claire qu’il revêtit à chaque traversée du désert.



How lewd you are


CARACTÈRE ▬
« Parle-moi de toi !

Sans gène, comme toujours. Tu avais fait irruption dans sa maison une heure plus tôt, à tout casser, et tu étais déjà affalé dans son canapé, à mater la cinquantenaire, de dos, qui te préparait le dîner.

_ Vous êtes déjà passé au tutoiement ? Vous êtes rapide, jeune homme !

Bien sûr que tu étais rapide, il n’y a pas de temps à perdre. Dans une heure tu manges, dans deux tu prends une douche, dans trois tu la sautes et demain matin tu reprends la route.

_ Ah ? Est-ce que ça t’gène ?

Elle avait posé son couteau, rassemblé en un petit tas ses herbes aromatiques et soupiré un grand coup. Elle s’était retourné, le sourire aux lèvres, le visage éclairé d’une nouvelle joie : celle de ne plus être seule.

_ Non, ça ne me gène pas. Qu’est ce que tu veux savoir ?

Tu lui souris en retour, et bondis du sofa. Tu t’approchas à grand pas, puis, arrivé à sa hauteur, trempas le doigt dans la marmite pour goûter. Tu prenais le rôle du petit fils qui aide sa grand-mère à préparer de la confiture, en te frottant un peu à elle, en n’en faisant qu’à ta tête, en volant des fraises dans le frigo. Mais tu avais beau être inculte, voir parfois même un peu stupide, tu étais loin d’être naïf. Ton aïeule n’avait rien de tendre, et toi, rien d’enfantin. Tu saisis ses hanches, la sentis sursauter puis d’un ton mielleux, susurras à son oreille :

_ Tout. Dis-moi tout. »

Yngvi, tu es gonflé, vraiment. On ne peut pas te coller au front l’étiquette « séducteur », car un dragueur a au moins le mérite d’être subtile dans ses démarches : toi, non. Toi, tu fonces comme un animal en rut, en sachant pertinemment que c’est ce que le corps sous le tien veut aussi. Le sexe t’est autant nécessaire que la bouffe, le reste, c’est futile. Les femmes qui cèdent à tes caresses te trouvent un peu cru, un peu dur, mais elles t’acceptent quand même, au nom de la beauté de la jeunesse, celle que tu trimballes partout, celle qui te trouve des toits. Tu n’es ni délicat, ni tendre pour elle. Pour personne d’ailleurs.

Tu répètes sans arrêt qu’il y a une différence entre la douceur et la gentillesse, et pour une fois tu n’as pas tort. Yngvi, tu n’es pas un mauvais garçon, c’est juste que tu agis comme bon te semble sans te soucier véritablement de qui en pensera quoi. Tu tentes tant bien que mal de ne blesser personnes dans tes actions, mais tu te débrouilles mal, alors tu préfères fuir tôt. Tu es gentil car tu t’occupes bien de tes dames, tu leur offres sur un plateau d’argent ce qu’elles n’osent te demander, tu grimpes aux arbres pour récupérer les jouets perchés des enfants et files un coup de main au brave homme qui sue dans sa ferme. Mais tu es impitoyable car tu disparais aussitôt : tu donnes un bout de ton amour, et fait miroiter le reste à leurs yeux, puis le lendemain tu n’existes plus, et es déjà loin sur les routes.

Comment font les gens pour s’attacher malgré tout à toi ? Pourtant ça se voit, ça se sent que tu es frivole ! Tes clins d’œil charmeurs, ton sourire éclatant, ils puent l’arnaque à vingt kilomètres à la ronde. Ils tombent tous dans ton piège comme des papillons dans les toiles d’araignées. Même si tu n’as pas huit bras.
C’est sûrement à cause de ton aura : tu respires le bonheur comme ce n’est pas permis. Tu ris sans arrêt à t’en péter les cordes vocales, enchaînes les blagues de mauvais goût, souvent salaces, et amuses la galerie partout où tu passes. Tout le monde te connait, tu connais tout le monde. Enfin c’est ce qu’ils croient.

Un autre de tes défauts ? Oui, tu en as beaucoup. Mais faire la liste de tes qualités serait bien trop long. On pourrait évoquer ta nullité face aux nouvelles technologies, à quel point tu t’excites face à un clavier qui n’écrit pas ce que tu veux, ou t’énerves en essayant désespérément de virer le mode T9 de ton téléphone portable. Et puis n’oublions pas le fait que tu es inculte. Ah, tu peux bien râler autant que tu veux ! As-tu déjà ouvert un bouquin de ta vie ? C’est à se demander quand on voit la construction de tes phrases : des conjugaisons à en faire pleurer le Bescherelle, et une orthographe qui désespère le petit Robert. Tu dis toujours que ce n’est pas grave, que ça reste compréhensible. Toujours réponse à tout, hein ? Mais personne ne t’en veut, car si tu ne connais pas Socrate, tu sais en revanche allumer un feu dans le désert ; si tu n’as jamais entendu parler du théorème de Pythagore, tu es malgré tout capable de construire un tipi avec trois bouts de bois. Débrouillard, gentil, attentionné dans un sens, bon coup mais frivole, rustre, inculte. Mais par-dessus tout : éternel vagabond.

PHOBIES
Il a beau avoir traversé Sphéra de part et d’autre, gravi les montagnes les plus hautes, marché dans les sentiers les plus boueux et rencontré les bêtes sauvages les plus féroces, Yngvi a une phobie et pas des moindres : les Mamans. Rien de plus effrayant à ses yeux qu’une dame dans la quarantaine qui protège avec ferveur ses petits. A ses yeux, une mère n’a plus rien d’une femme : envolée la délicatesse de la jeune fille et la douceur juvénile, elles se transforment dès la naissance de leurs bambins en monstres violents qui montrent les crocs et vous tranchent de remarques cinglantes lorsque vous ne leur convenez pas. Les mères se croient tout permis après avoir donné la vie, elles n’hésiteront pas à commérer, et critiquer tout ce qu’elles aperçoivent. Et c’est ça dont Yngvi a une peur bleue. Qu’une de ces femmes, qui ressemblait peut être à sa mère, crache son venin sur son mode de vie, le catalogue comme mauvais garçon et le gratifie de la phrase fatale : « Tu devrais avoir honte ».

Alors il contourne les maisons qui abritent les familles, et ne se fait héberger que par des femmes vieilles, des qu’on pourrait appeler des « dames », mais des femmes seules. Il les payera avec ce qu’il a, et ce qu’il a se limite à la peau sur les os, puis les quittera à l’aube en laissant juste une place tiède sur le matelas.



Who made him


BIOGRAPHIE ▬
« Arrache à mon cœur, les moindres sentiments. Ampute moi de l’affection, prive moi des attentions, ne t’occupe pas de moi car le jeu n’en vaut pas la chandelle. Nous finirons désespérément seuls, tous autant que nous sommes. Un jour ou l’autre, tu m’annonceras les yeux pleins de larmes que tu veux t’en aller, et tu me tourneras le dos, dévoré par les regrets. Ou pas, d’ailleurs. Et c’est bien ce « ou pas » qui nous terrifie tous. Alors c’est mieux pour nous, de nous quitter tant que l’on vaut encore quelque chose pour l’autre, de nous lâcher tant que l’on pense encore « Il me manquera ». Parce que ne rien ressentir lorsque quelqu’un nous laisse tomber est sûrement bien moins supportable, pour notre propre égo, que de pleurer des jours entiers pour cette même personne. L’absence et le manque nous font nous sentir vivant, ne pas les ressentir nous déshumanise, alors profitions des beaux moments en accéléré, puis laisse moi regagner la route. Avant qu’une rencontre merveilleuse et une amitié éclatante ne se mue en une relation terne et quelconque. Abandonnons-nous, avant tout ça. »

S’il avait eu assez de mots, assez de vocabulaire pour vous le dire, il se serait sûrement expliqué comme ça, quand vous l’auriez trouvé sur le pas de votre porte, son sac sur le dos, prêt à vous quitter de nouveau. Mais comme il ne savait pas le dire, il vous gratifiait simplement d’un sourire tordu et d’un regard un peu froid.

A croire que ce gamin ne s’est jamais sédentarisé, que ses pieds le démangent et qu’il ne vit que pour marcher. Pourtant, les dix premières années de sa vie s’étaient écoulées normalement. Sa famille semblait ordinaire, aux yeux de tous, et le temps passait tranquillement à Amenthalys, pour eux trois. Pour son père qui travaillait sur les plus grands bateaux, et pour sa mère qui désespérait à intéresser son fils à la navigation. Les disputes d’en haut, les désaccords des chefs, ils n’y prenaient pas part. Ils y faisaient la sourde oreille, et évitaient les débats interminables sur l’Empereur et les dotés, le bien et le mal, le blanc et le noir. Mais l’on ne reste jamais immaculé dans un monde ravagé par la guerre, et les Lissandro ne le comprirent que trop tard. S’ils s’étaient intéressés au conflit, ils auraient su quel danger les menaçait, ils auraient su que ce pouvoir que portaient la mère et son fils était une raison suffisante pour les éliminer. Mais ils n’en savaient rien, et c’est cette ignorance choisie qui provoqua la mort prématurée de Madame Lissandro.

Tu la revois dans sa longue robe fleurie. Les pieds nus enfouis dans le sable, les mains qui caressent l’écume. Elle chantonne, comme d’habitude. Le vent emporte ses cheveux ondulés et porte à tes oreilles ses éclats de rire rassurants. Elle déplie ses genoux, se redresse et tend ses grandes mains maternelles vers toi. Tu clignes des yeux : est-ce elle qui t’éblouit ? Ou bien juste le soleil qui s’enfonce dans l’horizon ? Tu t’apprêtes à la rejoindre, à détaler et te jeter dans ses bras. Tu as beau avoir onze ans, tu l’aimeras toujours pareil, toujours plus que toutes les autres. Finalement, tu n’y arrives pas à temps, et quelqu’un d’autre te pique ta mère sous le nez. Ce n’est pas papa, ce n’est pas quelqu’un que tu connais. Il a l’air méchant, et il le prouve en agrippant le poignet de ta mère qui résiste. Il la soulève du sol, et l’emporte comme un sac. Et toi tu es là, les yeux écarquillés, paralysé par la terreur en écoutant les hurlements de celle qui t’a mis au monde et qui te crie de fuir. Alors tu lui obéis. Tu ne sais pas où tu vas, mais si tu continues de courir, il ne t’arrivera rien.
Si tu continues de courir, il ne t’arrivera rien.

« On s’en va d’ici. »

Souffla ton père en bourrant un grand sac de vêtements. Les joues rouges de colère, il parcourait les pièces de la maison de plus en plus vite. Il débranchait les appareils électriques, vidait le frigo et le congélateur et fermait les volets. Dehors il y avait deux vélos qui n’étaient pas les vôtres, des vélos gris, des vélos simples, des vélos qui passent inaperçus. Planté au milieu de ton salon, tu contemplais ton père qui s’agitait. Il te balança ton sac à dos, presque aussi grand que toi à cette époque, celui que tu traînerais toute ta vie et te traîna hors de la maison. Sur le pas de la porte, il empoigna une photo sur le meuble d’entrée. Un portrait de Maman. Tu crus voir dévaler une larme le long du visage paternel, tu l’entendis renifler, puis vous enfourchèrent vos vélos vers des sentiers étrangers.

« On va où, Papa ?

Tu avais beau fouillé dans ta petite tête, tu ne trouvais pas quel était ce crime si grave que vous aviez commis. N’aviez vous pas vécu dans la légalité jusqu’à aujourd’hui ? Alors pourquoi ont-ils enlevé ta mère ? Pourquoi fuyez-vous comme des voleurs ?

_ On va à Karnevale Avenue. »

Un nom que tu n’avais jamais entendu, un nom qui respirait la magie et qui avait des airs de nouvelle vie. Vous rouliez toujours plus vite et empruntiez des chemins qui t’avaient été jusque là inconnus. Combien de jours se sont écoulés depuis votre départ de la maison ? Ce trajet en était effrayant de longueur, et ce père dont les bras avaient un jour été tendres et rassurant, brûlait d’une flamme nouvelle : celle de la haine et de la colère. Le soir, quand vous posiez enfin vos deux roues au bord d’un champ, il se mettait à parler de l’empereur, de Raziel, de tout le mal qu’il faisait. Il tapait du poing, hurlait de rage et te saisissait par le col en répétant comme si tu ne le savais pas déjà : «Ils ont enlevé ta mère, Yngvi ! Ta mère ».
Ton père ne t’expliquait rien, il s’énervait en permanence et vomissait toute son aversion pour Raziel. A force de l’entendre, et d’écouter les bribes de l’histoire de Sphéra qu’il grognait de temps en temps, tu avais fini par comprendre que ce qui clochait chez toi, c’était ton don. Ton karnevale. Personne ne t’avait prévenu, jusqu’à aujourd’hui, que faire fondre du métal au toucher ou changer l’eau en glace devant quelqu’un risquait de te faire gagner un ticket pour la prison. Ou pire. Tu n’avais d’autre choix que de garder ça secret, de suivre un père qui ne te remarquait presque plus, obnubilé par sa soif de vengeance, et joindre la résistance.
Sept ans. Pendant sept années, tu étais resté dans cette ville, témoin de la fureur croissante de ton père. Tu entendais parler des plans inhumains de Raziel et des réponses machiavéliques des habitants de Karnevale Avenue, tu planquais ces horreurs dans un coin de tête, et partais jouer dans les rues avec les autres gamins. Puis il y eu la bataille finale. A 18 ans tout juste, tu y participais un tout petit peu : pas assez pour y être blessé, assez pour voir le pire.

Au milieu de la bataille, tu pris tes jambes à ton coup, tu en avais trop vu, il était temps de te retirer. Tu tournas le dos à la figure paternelle qui ne vivait que pour mettre à mal le régime de l’empereur, et t’enfuis sur les routes, direction Opale. Si ton mode de vie était plus que discutable, tes jours n’étaient pas plus sombres que ceux passés à Karnevale Avenue. A Opale, même si dormir dans un lit s’avérait être un code pour « Je me prostitue », ce qui, au fond, ne te dérangeait pas tant que ça, au moins tu n’avais pas à assister à des combats sanglants et des violents massacres. Après avoir dépouillé assez de couguars de leur argent, tu quittas Opale. Comme pour te racheter de ta fuite de Karnevale Avenue, tu compensais ta lâcheté passée en fonçant dans les nids de Tigres des Sables, tu te faisais déchiqueté, à moitié dévoré, mais tu t’en sortais tout le temps, à coup de karnevale bien placé. Tu errais dans le désert, vagabondais au gré du vent.

Hors du Monde, exclu de Sphéra, tu n’existes pour rien, pour personne, tu n’as pas de rôle dans cette société. Mais même exclu, tu eus vent de la nouvelle : L’empereur était tombé, et c’est un certain Howard d’Essling qui dirigeait tout, à présent. Ton père devait sûrement l’assister, tu aurais du être rassuré, mais tu ne ressentis rien. Ta vie ne changerait pas, tu restais l’ombre sur les chemins, le jeune homme de passage, celui qui lève la tête pour admirer les aéronefs et qui raconte aux gamins des villes toutes ses péripéties dont le jour où il a vu un dragon, haut dans le ciel.

Yngvi, tu ne crois pas qu’il serait temps de te poser ? Apprendre un métier, se faire des amis, pas des copains, prendre un appartement ou retaper une vieille maison, acheter un bateau et partir sur cette île extraordinaire, retrouver ton père ou tomber amoureux. Tu sais ? Quelque chose qui ne sera pas éphémère, quelque chose qui durera plus longtemps que deux jours et une nuit. Repars à zéro, car c’est un monde qui le permet.



who are you ?


Pseudo ▬ Yngvi, ça ira !
Âge ▬ 17 ans o/
Moyenne de connexion ▬ Tous les jours, voir plusieurs fois par jour
Niveau de RP ▬ Débutante
Multicomptes ▬ Nop
Comment avez vous connu le forum ▬ THANKS TO ALECTO AND PEPPER <3
Avez vous bien lu le règlement ? ▬ [OK]
Personnage sur l'avatar ? ▬ Green/Gary de Pokémon



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Elliott Taylor
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ZONE ALZEN

♦ Messages : 102
♦ Messages RP : 31
♦ Inscription le : 27/04/2012
♠ Humeur : Lunatique.
♠ Emploi : Aucun.
♠ Karnevale : Maîtrise (pas encore totale) des Illusions.

Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies Vide
MessageSujet: Re: Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies   Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies EmptyDim 13 Mai - 14:11

SALUT AGATHE.
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Terek Vöronov
Terek Vöronov
ta soeeeuuur

♦ Messages : 407
♦ Messages RP : 97
♦ Inscription le : 27/04/2012
♠ Humeur : Jouasse (◕‿◕✿) ou pas.
♠ Emploi : Prostituée (ex-Artemys)
♠ Karnevale : Annulation de tout Karnevale extérieur.

Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies Vide
MessageSujet: Re: Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies   Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies EmptyDim 13 Mai - 14:11

Wesh bienvenue o/

Je n'ai qu'une seule remarque à faire, Yngvi ne peut pas avoir participé à la guerre à l'âge de 17 ans s'il en a 19 aujourd'hui, puisqu'elle a eu lieu il y a précisément un an. Et c'est tout, comme quoi, rien à dire ming plz corrige ça et ça devrait le faire pour la validation~

EDIT by Andy : Il faut remplir les champs de ton profil aussi, ça s'oublie trop souvent mais c'est important.
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Invité


Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies Vide
MessageSujet: Re: Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies   Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies EmptyDim 13 Mai - 16:06

SALUT MELANIE.

Roger that ! je change tout de suiiiite ! merci beaucoup !

Ré-édit : Eh vouala !
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Andy R. Jacobsen
Andy R. Jacobsen
DARK KNIGHT

♦ Messages : 547
♦ Messages RP : 99
♦ Inscription le : 20/04/2012
♠ Humeur : Enflammée.
♠ Emploi : Maître de l'ARK.
♠ Karnevale : Fire Blast: Transformation physique et maîtrise élémentaire du feu.

Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies Vide
MessageSujet: Re: Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies   Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies EmptyDim 13 Mai - 16:24

Wup, validé~
Bienvenue, amuse-toi bien parmi nous !
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MessageSujet: Re: Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies   Yngvi E. Lissandro - Window in the Skies Empty

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