Karnevale Avenue
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 ♦ Cyan Kalcifah

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Invité


♦ Cyan Kalcifah Vide
MessageSujet: ♦ Cyan Kalcifah   ♦ Cyan Kalcifah EmptyLun 30 Avr - 21:19

[ Cyan Kalcifah ]

« Plus un secret a de gardiens, mieux il s'échappe. »


identity card


♦ Cyan Kalcifah 311302279
Nom ▬ Kalcifah
Prénoms ▬ Cyan
Surnom ▬ Monsi... euh, Mademoisell... Enfin, on ne sait pas trop.
Âge ▬ 22 ans
Lieu de Naissance ▬ Alzen l'aérienne
Rang Social ▬ Moyen - je ne serais pas fâché d'être payé plus, franchement
Sexualité ▬ Tralala, lalilala... ooh, un papillon !
Métier ▬ Attention attention, lancez la musique de James Bond… Tatada ! Agent secret ! Ça en jette à fond, hein ?!
Habitation ▬ Nouvelle Alzen

PARTICULARITÉS PHYSIQUES ▬
Et puis quoi encore ?! J’suis agent secret, moi, et dans agent secret ben y’a secret, 'voyez. Alors bon, si on peut me reconnaître à 10 lieues à la ronde, ça casse un peu l’effet. D’accord, faut avouer que le look blondinet à frange n’est pas tellement commun pour un mec, mais par contre, c’est terriblement pratique pour se faire passer pour une fille, surtout avec ma tronche de… Bah de mec pas trop viril, quoi.



i got the power


KARNEVALE ▬
Tu me vois, tu me vois ? Et hop, tu me vois plus ! Hahahahaha !
Rahem. Oui donc, mon Karnevale, ma joie quotidiennement renouvelée, c’est l’invisibilité. Et je peux vous dire que c’est un plaisir fou que de disparaître à tout bout de champ, laissant en plan le reste du monde. C’est formidablement utile, pour éviter de retomber sur votre ex en furie, ou se barrer tranquillement alors que trois malabars ont l’intention de vous transformer gentiment en chair à saucisse, ou même juste pour espionner autrui et s’introduire dans les endroits bien gardés… (c’est bien connu, mieux c’est gardé, plus il y a de secrets à dérober, et plus il y a de secrets… plus ça me fait d’argent, héhé !)
J’ai bossé dur pour ça, mais maintenant, l’invisibilité, je maîtrise. Je ne dis pas que je pourrais passer une semaine entière sans réapparaître… déjà une journée entière, ça me demande un gros effort… Mais au moins, je ne disparais plus à l’improviste comme avant. Et mon pouvoir ne me fait pas faux bond dès que j’en ai besoin. Cerise sur le gâteau, je ne m’effondre même pas d’épuisement/migraine/rage de dents après utilisation. Simplement, ça brûle des calories à un point phénoménal, ce truc. Alors pour les régimes, c’est super, mais dans mon cas, ça m’oblige à manger TOUT LE TEMPS. Une heure d’invisibilité, et j’engloutis deux tablettes de chocolat pour ne pas défaillir d’hypoglycémie. (Enfin, la deuxième tablette c’est un peu par gourmandise quand même.) Pour une journée entière, je serais bien capable de dévorer toute la bouffe disponible dans un rayon de deux kilomètres (si je suis dans le quartier des restaurants) à dix kilomètres (dans le désert). Manger en étant invisible posant quelques problèmes de discrétion (imaginez que vous voyez un poulet rôti léviter dans les airs et disparaître bouchée par bouchée…), je compense en me goinfrant le reste du temps – sous les regards étonnés des manants qui se demandent comment un être aussi chétif peut avaler de telles quantités.


ARMES
Bon, faut que je vous dise. Les armes et moi, ben… On s’entend pas trop bien. Bizarrement, entre mes mains, elles ne font pas du tout ce qu’elles seraient supposées faire. Ce qui me transforme, hélas, en agneau sans défense dès qu’il est question de combattre – et ce, même si j’ai à ma disposition le lance-roquettes le plus perfectionné de sa génération. Mais j’ai quand même un flingue, hein ! Parce que bon, quand on est agent secret, c’est la base, quoi. Je peux pas vous en dire plus, j’y connais rien à ces trucs-là. Je l’ai sur moi, ça fait dissuasif, c’est génial. Ça m’est même arrivé de le dégainer quelques fois. Le fait que je ne sache pas m’en servir… Ce n’est qu’un détail.

ÉQUIPEMENT
Mon fidèle couteau suisse, qui entre mes mains ne peut vraisemblablement pas être considéré comme une arme, mais qui me sert formidablement grâce à ses petits outils fins et pointus, parfaits pour les crochetages de serrures en tout genre. C’est la seule chose que j’ai toujours sur moi, le reste de mes vêtements et de mon équipement varie selon mon déguisement du jour ; néanmoins, il m’arrive fréquemment d’avoir une petite besace avec moi, dans laquelle on trouve, parmi les barres de chocolat et autres réserves de nourriture saine et équilibrée, une, euh, trousse de maquillage, dont je ne suis pas particulièrement fier mais qui m’aide remarquablement lorsqu’il me faut changer soudain d’identité, et puis aussi une carte postale de l’ancienne Alzen, du temps de sa splendeur volante (ça, c’était pour la minute sentimentale). Dernière chose importante, mon carnet d’adresses. Précieux recueil d’informations et de contacts, numérique bien sûr, nous sommes à l’ère de la technologie n’est-ce pas. (Et puis surtout, ça permet de mettre des mots de passe au lieu de laisser les gens fouiner allègrement dans mes petits papiers)



try to rule the world


CARACTÈRE ▬
Quoii, que je parle de moi ? Vous avez craqué là ? J’ai horreur de ça, je… je peux pas, me confier à quelqu’un c’est me rendre accessible – vulnérable, en fait. Et puis franchement c’est pas trop intéressant, si je vous racontais l’histoire du mammouth et du bernard-l’hermite, à la place, hein ? Elle est excellente, écoutez bien, c’est un ma… Ouii, bon, ok... Ah, je sais : si vous voulez, je vous présente Roberto, c’est mon avatar préféré. Oui parce que, le truc que je fais le mieux dans la vie, c’est de changer de personnalité. C’est facile, c’est pratique, et ça marche comme sur des roulettes. Technique de manipulation imparable, je vous promets ; pour le boulot, c’est formidable. Bon, après, je vais pas non plus sortir le grand jeu pour n’importe quoi, hein, si je dois me transformer en femme fatale pour un job, il y a intérêt à ce que ça paie. Je veux dire, littéralement. Non mais y a pas écrit mère Theresa sur mon front, il ne faut pas croire que je fais des trucs gratuitement, hein. Le fric, c’est la vie, et la vie, ben j’y tiens. Donc par transitivité, concluez-en que j’aime l’argent si vous voulez, mais le fait est que, si le client ne paie pas assez bien à mon goût, ben… ça ne sera pas de ma faute si la mission ne se déroule pas tout à fait comme prévu. Disons qu’il y a un moi un très fin emmerdeur qui ne se rendort qu’à partir d’une certaine somme, voilà. Mais je tiens à préciser que j’en vaux la peine : je suis plutôt bon pour récolter des infos (y compris les derniers ragots à la mode, c’est plus fort que moi, j’aime bien commérer). Caméléon et passe-partout, je peux m’infiltrer à peu près n’importe où, sans parler de mes multiples relations ici et là. Et puis j’ai le mental qu’il faut : du genre zen en toutes circonstances (ne dites pas lymphatique, ça sonne péjoratif), plutôt habile en paroles, je peux vous descendre en flammes sans trop me fatiguer, tandis que le contraire est excessivement rare. Je ne suis pas facile à surprendre, encore moins à déstabiliser. Et quand bien même ça arrive… Tout est dans l’apparence, voyez-vous. Un petit air flegmatique cache efficacement la panique intérieure et hop ! ça me laisse tranquillement le temps de réagir. Par contre, je suis un tantinet moins bon en ce qui concerne les affrontements physiques. J’ai un en effet un petit souci… je crois qu’on peut appeler ça une incompatibilité congénitale avec toute forme d’arme pouvant exister. Bizarrement entre mes mains, un lance-flammes chargé à bloc devient aussi inoffensif qu’une chaussette de bébé (et je parle ici d’une chaussette SANS odeur putride d’origine fromagère, des fois que certaines personnes soient assez sensibles de la narine pour tourner de l’œil…). J’ai des armes sur moi, bien sûr, mais c’est pour la déco (le staïïle). Histoire de faire peur et de dissuader tout agresseur potentiel ; parce que dans le cas d’un combat effectif, hé bien… ma médiocrité, pardon, ma profonde nullité joue en ma défaveur.
Ceci dit, l’idée de me retrouver face à face avec un gorille armé jusqu’aux dents et assoiffé de sang me paraît moins terrifiante que… franchement marrante. De toute façon j’ai déjà survécu à pas mal de trucs improbables, il faut croire que c’est plus fort que moi : dès qu’il y a un coup bien foireux en vue, je me fourre allègrement dedans. « Tu es trop confiant dans ton Karnevale et gnagnagna… » Mais que voulez-vous, quand on a le don magnifique de disparaître à loisir, ce serait bien stupide de ne pas en profiter ! La prise de risques ne m’a jamais dérangé… C’est mon côté joueur (ce même côté joueur qui m’a fait jouer ma maison à pierre-papier-ciseaux… mais ne revenons pas sur cette triste initiative). Et puis bon, si je dois y laisser la peau, ben j’y laisserai la peau, c’est la vie – enfin, la mort, en l’occurrence. Mes études de philo, quand j’étais jeune (oui oui, bien sûr qu’à 22 ans, je peux me permettre de sortir des phrases comme ça), m’ont peut-être inspiré là-dessus. Je ne vois le monde que comme un grand théâtre grand-guignolesque où nous tous ne tenons qu’à un fil, un fil tellement facile à couper que c’en devient… drôle, précisément.

PHOBIES
Perdre mon Karnevale figure en bonne place parmi les trucs bien flippants qui pourraient me tomber sur le nez. Et pour cause, j’ai déjà connu ça, et ce n’était pas folichon. Ni le moyen par lequel ils me l’ont enlevé, ni ma vie sans, pas plus que le moyen par lequel je l’ai retrouvé. Vraiment, je ne conseille cette expérience à personne, et pour ma part, je considère que j’ai assez donné maintenant, alors [hystérie]NE TOUCHEZ PAS MON KARNEVALE !!![/hystérie]
Sinon, ma plus grosse phobie c’est les espadons géants à pois roses. Enfin, je n’en ai jamais rencontré personnellement, mais si ça arrivait je suis sûr que ça me ferait très peur.



once upon a time


BIOGRAPHIE ▬
Je suis né à Alzen, deuxième d’une famille de trois enfants. Mes parents étaient… Ah, mais pourquoi je vous raconte ça, hein ? Officiellement j’ai pas de famille. Question de sécurité. Sachez juste que je suis né à Alzen, et que je n’y étais pas malheureux. Là-bas j’ai appris combien l’altitude est fascinante, combien voler est enivrant, j’étais un gamin avec la tête dans les nuages et les pieds très loin du sol, c’était la belle vie.
Mais assez vite, je suis redescendu à Amenthalys pour mes études. À Alzen on fait des sciences, et moi la science… Ben je préfère la philosophie, quoi. C’est même devenu une passion, qui n’a fait que croître pendant cette période, en partie grâce à une Théoricienne extraordinaire. Juliette de Walnya. Elle venait souvent nous donner des cours, et c’était fascinant, à tel point que je n’ai pas résisté, je suis allé lui parler. J’ai ainsi obtenu des cours particuliers, qui figurent parmi les meilleurs souvenirs de mon existence. Cette femme était fascinante, sans elle je ne serais pas un aussi fin analyste qu’aujourd’hui. Elle était intelligente, et belle, et je… C’était mon premier amour, un amour gardé secret ; car comment aurait-il pu être payé de retour ? Prudemment, je ne lui en ai jamais rien dit.
De toute façon, je n’avais pas l’intention de devenir un érudit et de vouer ma vie à la connaissance et à la philosophie. Moi, ce qui m’a toujours attiré, c’était de fouiller la vie des gens. Gamin déjà, j’avais ce travers pour les commérages, cette manie de vouloir tout savoir sur tout le monde. Alors quand j’ai appris, vers quatorze ou quinze ans, qu’il y avait des gens dont c’est vraiment le métier… Je ne pouvais pas passez à côté, enfin, vous comprenez ! Et puis on disait qu’agent secret payait bien. Bref, c’était fait pour moi, et j’ai renoncé à toute carrière universitaire et quitté la capitale pour retourner (enfin) à Alzen.
Personne n’a protesté dans ma famille, j’ai donc débuté le plus tranquillement du monde ma formation dans la cité des nuages, la vie-était-belle-les-oiseaux-chantaient, rahem, bon, c’était cool quoi. Et à dix-huit ans, tadaa ! J’ai eu mon diplôme d’enquêteur. De fil en aiguille, grâce aux relations qu’un diplôme décerné par la police permet d’obtenir, j’ai fini par entrer en contact avec une agence secrète, dirigée par Darian Engelhorn. Coup de malchance, j’y ai été embauché. Malchance ? Oui oui, tout à fait – vous allez vite comprendre.
Première mission, une surveillance banale d’un noble d’Amenthalys. J’ai tenu, euh… deux jours ? avant de me faire repérer et arrêter par les Traqueurs. Ils m’ont pris pour un Karnevalien… Un Karnevalien ! J’étais la personne la plus neutre du monde, et je me suis fait arrêter… Évidemment je pouvais bien essayer de leur dire sur tous les tons que je ne savais rien, rien et rien, ils n’en croyaient pas un mot.
C’est ainsi que j’ai atterri à l’Internat Psychiatrique. Enfermé, et torturé pendant un mois entier. Je…
J’ai pas envie d’en parler.
Ils… savaient s’y prendre pour faire mal. C’est gravé en moi, quelque part. Toute cette souffrance m’est restée, quelque part sous la peau, ancrée dans la chair. Le temps passe, les cauchemars se taisent. Mais les souvenirs restent, écueils terrifiants sur lesquels mes pensées parfois viennent se fracasser.
Plutôt que de simplement m’achever, ils m’ont enlevé mon Karnevale. Et après ça, j’ai repris conscience dans le désert. Solitude ; douleur. Laissé pour mort, j’étais assez proche d’atteindre cet état pour de bon quand Kymilian m’a trouvé, loque humaine à l’agonie. Kymilian, une petite gamine qui ne payait pas de mine, mais qui a réussi à me ramener à Alzen, où j’ai été soigné. Elle m’a sauvé la vie. Elle m’a changé la vie : maintenant c’est ma sœur, une petite sœur particulièrement chiante et pénible, mais que j’adore, et notre lien est fusionnel.
Apparemment je n’étais pas destiné à poursuivre paisiblement ma vie telle un long fleuve tranquille… Parce quelques mois plus tard, je me retrouvais à nouveau prisonnier. Cette… folle furieuse, là (gros effort de politesse, notez bien), Valentina Vallone, m’a chopé à Alzen, capture sur laquelle je ne reviendrai pas, et paf ! ça fait pas des chocapic, ça fait un Cyan cobaye de l’ARK. Notez bien, je ne critique pas totalement cette organisation de gens un peu cinglés sur les bords : grâce à leurs expériences, j’ai retrouvé un Karnevale. Et un sacré bon Karnevale, en prime ! À vrai dire je ne me plaindrais pas d’être passé entre leurs mains, s’il n’y avait pas ce léger détail : ils m’en veulent terriblement de m’être éclipsé en refusant de me ranger parmi eux. Peut-être aussi que c’est dû à l’importance des infos sur l’ARK que je détiens maintenant… Toujours est-il qu’ils sont à ma poursuite et que, comment dire, j’aime autant les éviter – ce que je réussis plutôt bien, pour le moment.
Sitôt enfui du labo de l’ARK, je n’ai pas fait l’erreur de revenir tout de suite à Alzen où ils m’auraient cherché tout de suite ; je me suis réfugié un temps à Amenthalys, j’ai vagabondé ici et là, et surtout, j’ai travaillé mon Karnevale. Un vrai don du ciel, cette invisibilité ; par contre au début, je vous raconte pas la galère. J’avais tendance à disparaître inopinément et de manière tout à fait involontaire ; genre, à la moindre émotion forte, zou ! Plus de Cyan. Je vous dis pas comme c’est pratique … Par contre, comme de bien entendu, dans les cas d’urgence, pouf, plus de Karnevale, impossible de disparaître. Tellement mal foutu ce truc. Mais peu importe… J’ai triomphé ! Héhé. Et une fois mon Karnevale maîtrisé, je suis retourné voir Darian Engelhorn. Parce que mine de rien, agent secret, c’est ça mon truc. Il m’a réembauché – et puis franchement, qui aurait refusé un agent invisible, hein ?!
Et maintenant, je sillonne Sphéra, de mission en mission. Je tâche d’éviter la zone Alzen, mieux vaut que je garde mes distances avec l’ARK, et pourtant cet endroit m’attire terriblement. Ce sont les ruines de ma ville, mon enfance et mon ancienne vie ; l’Alzen d’aujourd’hui n’est plus rien à mes yeux, elle est comme un oiseau bloqué à terre. Pataude. Il paraît que cette guerre en valait la peine, que le monde d’aujourd’hui est meilleur ; je n’en sais rien. Simplement, je me rappelle de mes rêves dans les hauteurs, et parfois la nostalgie gagne.



who are you ?


Pseudo ▬ Sorrane
Âge ▬ Prenez un nombre entre 1 et 10, multipliez-le par 9, ajoutez le chiffre des dizaines et celui des unités, enlevez 4, multipliez par 3, ajoutez 3, et BINGO ! Vous avez peut-être mon âge.
Moyenne de connexion ▬ Vacances : 7j/7. Cours : euh... 2 ou 3/7 *désespoir intense*
Niveau de RP ▬ Bon
Multicomptes ▬ Ràs mon capitaine
Comment avez vous connu le forum ▬ Alors là, aucune idée oO Ça fait un moment que je vous suis en fait... 'pis juste quand j'ai (enfin) décidé de m'inscrire, boum, event et future nouvelle version... Donc j'ai rongé mon frein... Et maintenant Boum tadaaa j'suis là !
Avez vous bien lu le règlement ? ▬ [CODE OK] (bande de petits sournois, ça m'a tellement rendu curieuse que j'suis allée traduire ce que ça veut dire...)
Personnage sur l'avatar ? ▬ Mello de Death Note
Autres ▬ bouuuh woo



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Andy R. Jacobsen
Andy R. Jacobsen
DARK KNIGHT

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♦ Inscription le : 20/04/2012
♠ Humeur : Enflammée.
♠ Emploi : Maître de l'ARK.
♠ Karnevale : Fire Blast: Transformation physique et maîtrise élémentaire du feu.

♦ Cyan Kalcifah Vide
MessageSujet: Re: ♦ Cyan Kalcifah   ♦ Cyan Kalcifah EmptyLun 30 Avr - 22:09

Bonjour, bienvenue sur Karnevale Avenue !
Alors ça, c'est une fiche qui en jette, surtout quand on la lit avec la musique de Mission Impossible comme fond sonore. Bref, j'ai aimé. De plus il me semble que tu as plutôt bien saisi la personnalité de Cyan, du coup je n'ai rien à redire.
Je te valide donc. Amuse-toi bien parmi nous. ~
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♦ Cyan Kalcifah

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